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  • Ce microcosme « cultureux »…

    Revoilà les directeurs de conscience, sportifs, artistes, influenceurs, tous déconnectés de la vie sociale ordinaire, tous habitant à l’étranger, ou dans des endroits préservés, sans le moindre problème de fin de mois et à des lieues des contingences du Français ordinaire. Mais voilà, ils donnent des leçons. Mbappé, interrogé sur le scandale des ouvriers saoudiens des stades de la coupe du monde, s’était fendu d’un laconique « Je fais du foot, pas de la politique ». Quand il s’agit de la France, il fait de la politique et plus du foot. On ne devient pas un intellectuel en marquant de la tête. On se souvient de ses étreintes avec Macron, en public et le voilà qui appelle à voter contre les extrêmes, donc pour Macron en résumé. Est-ce bien son travail ?

    Pour les artistes, on en a un peu l’habitude. Pendant le Covid, ils étaient tous médecins, profitant de leurs concerts, de leurs interviewes, pour inciter à la vaccination, refusant même les non vaccinés dans leur public, les traitant de « cons «  et de « connards », à l’occasion. Le microcosme cultureux n’en peut plus de se vendre aux pouvoirs, ceux-là mêmes qui ont a une époque chanté pour les Nazis, sont prêts à vendre leur âme au plus offrant, selon la tradition. Il ne leur vient pas à l’idée de faire des œuvres qui se vendent et préfèrent produire des navets idéologiques grassement subventionnés. Certains auront mené des carrières entières avec des salles vides, aux frais du contribuable.

    Non pas que les artistes ne puissent avoir d’opinion politique, mais leur position publique, leur influence, souvent sur commande, devrait normalement faire que leur prosélytisme politique soit compté comme temps de parole officiel des partis qu’ils défendent. On ne voit pas en quoi le métier d’artiste serait soumis aux alternances politiques d’un pays. L’arrivée au pouvoir de Meloni, en Italie, n’a pas entraîné d’interdiction d’artistes ou d’oeuvres que l’on sache ? C’est plutôt dans l’autre sens que ça marche. Les gauchistes sont les plus prompts à pratiquer la censure culturelle. Ils s’en prennent à la musique classique, trop blanche. S’en prennent à Sardou, à Depardieu, trop à droite. Veulent réécrire les œuvres qui ne leur plaisent pas. Interdire Tintin au Congo, trop colonialiste. Ils pratiquent à tour de bras ce qu’ils prêtent à leurs adversaires. Mais quand c’est eux, c’est normal.

    Mais ce bel ensemble artistique est bien le signe qu’il y a une doxa à imposer. Milieux artistique, journalistique, judiciaire, enseignant se « mobilisent », ont très peur de l’alternance, peur de la démocratie en fait. Que font les syndicats d’enseignants et de la magistrature dans la campagne électorale ? Ils apportent la preuve qu’il y a une couleur politique dans l’enseignement et la justice, cela ne surprend personne, mais est ce bien normal ? Ces administratifs noyautées à gauche se permettent de dénoncer la gendarmerie et la police qui seraient selon eux, noyautées à droite. Le noyautage à gauche serait respectable, mais pas le noyautage à droite, ben voyons. Ces directeurs de conscience respectent le verdict des urnes tant que la situation établie et qui leur est favorable, n’est pas en péril. Quand le verdict des urnes ne leur est pas favorable, les gens de gauche cassent et brûlent, comme dernièrement à Paris. A-t-on pareilles conséquences quand la gauche gagne, de la part des gens de droite ? A l’évidence, les plus totalitaires sont ceux-là mêmes qui accusent les autres de totalitarisme.

    La réalité est qu’il y a un ordre établi, qui a survécu aux alternances gauche/droite, qui sont en fait constitués des mêmes hommes et femmes, issus des mêmes écoles, des mêmes creusets et ceux qui s’appellent pompeusement « partis de gouvernement » sont les mêmes, au point qu’ils sont parfois en famille, entre eux, au-delà du cénacle idéologique. Le problème est qu’ils ne pèsent plus rien, ni Les-Républicains, ni le PS, qui en sont, les uns et les autres, à quelques pour cent, sans en avoir pris acte, ni eux, ni les journalistes qui parlent d’eux et qui persistent à employer, pour le parti de Macron, le terme de « la majorité », alors que le parti Renaissance ne pèse plus rien.

    On ne sait pas encore si le RN s’est dédiabolisé au point de devenir « cooptable » par la bien pensance, mais une partie de ses cadres n’est pas issus des grandes écoles et des cercles idéologiques ou syndicalistes des autres et cela, suffisamment pour faire peur. Bien sûr qu’en cas d’élection d’une majorité de députés issus du RN, il y aura une forme d’instabilité, mais le régime macronien incarne-t-il la stabilité comme il le prétend ? C’est l’histoire de la grenouille qui chauffe dans son bocal. Fin juin, elle sautera peut-être hors du bocal, en direction forcément de l’inconnu. Mais les autres partis nous proposent assurément de continuer à chauffer dans le bocal, de continuer d’accumuler, dettes, migrants, insécurité et sombres perspectives. De-Villiers expliquait avec ses mots, que le pronostic vital de la France est engagé, il a raison. Il est vrai qu’en votant pour l’alternance RN on est sûr de rien, mais en restant avec Macron, on est sûr de continuer dans la voie qui a été dénoncée le 9 juin dernier lors du scrutin européen.

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    Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.

  • Le choix d’une certaine France

    Le programme économique parait secondaire dans cette campagne. Le pouvoir d’achat, la relance économique, la réindustrialisation, ne sont plus que des annexes face aux dérives sociétales qui deviennent le cœur des débats. Désarmer la police, rendre les squatteurs intouchables, en abolissant la loi anti-squat, laissant les propriétaires démunis… voilà l’ambition de l’extrême gauche. Une absorption encore plus massive de migrants, auxquels Fabius a donné par avance autant de droits qu’un citoyen normal, tuant ainsi la nationalité française de fait, puisque niant l’existence d’une différence entre un citoyen national et un étranger en situation irrégulière, dont la seule vocation est d’être expulsé du territoire. Les manifestations contre le RN, organisées par la gauche, nous enseignent, si on en doutait, que la France n’est pas le symbole qu’ils veulent défendre bien au contraire, le drapeau est brûlé et remplacé majoritairement par le palestinien ou l’algérien. La macronie avait déjà interdit le drapeau français lors de certaines manifestations, affichant à l’instar du front de gauche, sa haine de notre nation et de son histoire.

    La France, sa notion ou sa dimension historique, seraient pour ces engeances, des motifs de discorde et il faudrait selon eux, soit la dissoudre dans un fédéralisme dirigé depuis Bruxelles, soit la noyer sous une masse culturelle totalement étrangère à ses racines pour retrouver la concorde nationale ? Le temps est venu du choix, de ce que Philippe De-Villiers appelle, « cette France qui veut rester la France ». À ceux-là, la gauche répond par l’outrage et l’aversion, une violence dévoilée, s’exprimant sans retenue, le débat n’existe plus depuis longtemps. Soit vous raisonnez comme les moralisateurs, soit vous êtes d’extrême droite, la palette des nuances s’est considérablement amenuisée depuis des lustres. Et l’on est les témoins, sans que cela ne choque la presse subventionnée, des propos qui théoriquement devraient tomber sous le coup de la loi. Il n’y a plus d’idées à opposer mais des camps à éradiquer dixit Clémentine Autain ! Sa justification ? Ils ne pensent pas comme nous ! C’est bien là un argument imparable en effet, bien venu dans le monde tolérant de la gauche humaniste française. Bien entendu on va nous dire que le sens de sa tirade n’était pas à prendre au pied de la lettre, qu’il y avait un second degré, peut être même un troisième, qui nous à complètement échappé. Comme c’est facile d’affirmer après, que les mots ne comportaient pas vraiment la férocité du fiel exprimé et qui agite sa conscience. On imagine ce qui se serait passé si un député RN avait parler d’éradiquer les députés de l’extrême gauche…

    Pour parfaire le tableau des vieilles gloires ressurgissent, celles-là même qui ont déjà échoué. Quoi de plus normal, cela fait 40 ans qu’on nous amuse, ceux qui créent les problèmes se proposent de soudainement les régler, jusqu’à l’actuel Premier Ministre qui, sans honte, nous gratifie d’un programme miraculeux qu’il aurait concocté depuis le 9 juin. On se demande bien pourquoi il ne l’a pas mis en œuvre avant, quand justement il avait une majorité relative pour l’appliquer. On en sourit presque. C’est une habitude que de voir les sortants subitement éclairés et avoir des solutions très différentes de tout ce qu’ils ont fait depuis qu’ils sont au pouvoir. Auraient-ils failli durant tout ce temps ? Que dire de Cohn-Bendit, 80 ans l’an prochain, qui entend se présenter à gauche bien entendu, connu pour ses descriptions d’actes sexuels contraires à toute éthique. Et qui fait l’aller-retour entre la France et l’Allemagne, pour être sûr de manger à un râtelier. C’est donc avec ces antiquités égarées que la gauche compte redresser notre pays, nous faire la morale et nous enseigner les vertus essentielles qu’un citoyen doit suivre. Comme si ce n’était pas suffisant, voilà qu’elle investit un fiché S, Raphaël Arnault, à Avignon, mis en cause pour apologie du terrorisme. Que du beau monde ! Et 25% des électeurs plébisciteraient cet assemblage hétéroclite qui ressemble de plus en plus à la Cour des Miracles et qui serait le mieux placé pour diriger la France et sauver sa dignité ? C’est à ces gens-là que des personnalités s’identifient et nous demandent de voter, comme certains artistes ou sportifs, dont le célèbre attaquant MBappé, trouvant judicieux de transformer une conférence de presse sportive en tribune politique. Faut-il en conclure qu’ils cautionnent ces investitures comme moralement acceptables et honorables ?

    La réalité est contenue dans l’approche qu’ont ces grands défenseurs des libertés et du respect du suffrage universel. Entre invectives, menaces, sectarisme affiché, on reconnaît bien l’identité d’un bolchevisme assumé, mais nous ne voyons pas s’élever celle de démocrates avisés respectueux du résultat des urnes, soucieux de convaincre et de rassembler en lieu et place d’imposer et de châtier ces mauvais Français, pour la plupart non urbains ! Klarsfeld, qui a consacré sa vie à traquer les nazis, vient de déclarer qu’entre un NFP et un RN, il voterait RN. La gauche bien pensante s’est empressée de dire qu’il n’avait plus toutes ces facultés, compte tenu de son grand âge. Ah si seulement il avait pu abonder dans son sens alors là ses qualités et son expérience en la matière auraient constitué une preuve irréfutable du danger RN. C’est bien l’identité de notre patrie qui est menacée avec le risque de dissolution de la France par cette horde rouge écarlate qui s’avance écumant de rage, distribuant les bons points civiques.

    Il y a une urgence à rétablir l’ordre des choses, le bon sens, en lieu et place d’une idéologie qui ne se décline que sur fond de haine du français, notamment de la France profonde, qui veut persécuter le possédant, jugé comme le profiteur absolu et bien entendu le patron, cet infâme personnage qui s’engraisse sur le dos des salariés. La collectivisation de la société est en marche, c’est LE modèle à mettre en place, exactement comme il le fut dans l’ex-URSS avec la fortune qu’on lui connaît. Ce Front Populaire est un danger pour l’avenir de notre pays, parce qu’il est, à l’image de Macron, un assemblage hétéroclite dont le vecteur commun est l’aversion de ce qui est national, considéré comme abject. Le raffinement de cette classe-là, est de juger l’auto-flagellation comme le principe indispensable à l’expiation nécessaire pour se racheter une virginité que plus de 2000 ans d’histoire auraient souillée ! La question est donc simple, voulez-vous donner le pouvoir à une classe Wokiste/ Léniniste prête à endoctriner vos enfants et petits-enfants sur les bienfaits d’un mélange des genres, dont l’abolition des repères et de tout ce qui fait notre identité, sera le socle. Ou voulez-vous que la France reste ce qu’elle a toujours été, une référence en matière d’élégance, de réflexion, de savoir-faire et d’ingéniosité ? Bernés par l’illusion que le bien est la propriété de la gauche, les électeurs se sont, depuis Mitterrand, laissés convaincre que c’était à droite que l’on trouvait les pires menaces contre la démocratie, les libertés et le suffrage universel. La gauche s’étant appropriée le costume du moraliste détenteur des sacrements, seul habilité à dire qui était fréquentable et cet ordre depuis, n’a jamais été remis en question, jusqu’à Ciotti. Reconnaissons-lui ce bon sens. Il a enfin ouvert les yeux, il ne reste plus qu’à ses anciens partenaires d’en faire autant, le temps presse pour eux, les derniers sondages font état d’une chute de près de la moitié de leurs députés. Ce n’est que la rançon de leurs trahisons et en s’obstinant à laisser la gauche unie ils s’apprêtent à lui donner le pouvoir. Est-ce vraiment cette France-là qu’ils plébiscitent en lieu et place de celle qui serait gouvernée par le RN et ses alliés ? La crainte n’est pas là où ces moralisateurs la désignent, mais vient de ceux qui la dénoncent. Le choix est crucial. Voulons-nous encore de cette France que l’on dit éternelle, ou non?

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    Par Gilles La-Carbona : secrétaire national du RPF au suivi de la vie parlementaire

  • Un appel plus que jamais d’actualité.

  • La peur panique de perdre…

    La campagne qui commence apporte son lot de situations croustillantes, à commencer par les gauchistes qui « se mobilisent » pour « faire barrage » au Rassemblement National. Et pourquoi donc ? Parce que l’extrême droite, c’est dangereux pour la démocratie. Allons donc et concrètement ? Concrètement, ils risquent de mettre fin à la propagande LGBT dans les écoles, de renvoyer les étrangers délinquants chez eux, d’arrêter de subventionner les ONG pro-migrants et d’entamer des négociations de paix avec Poutine… ce serait intolérable ? Bardella a expliqué qu’il allait revenir sur la nouvelle loi concernant l’indemnisation des chômeurs… la gauche serait contre ? Alors comme le RN est dangereux, on défile en ville en braillant, on arbore des pancartes anti-flics, on fait peur aux commerçants qui sont situé le long du parcours et éventuellement, on casse du mobilier urbain, le tout en brandissant des drapeaux palestiniens… ça va convaincre qui de voter pour ces gens là ? Ils ne veulent sans doute pas que l’on vote pour eux, mais avoir le pouvoir, par tous les moyens, parce qu’ils ont décidé qu’ils avaient raison et que leur doctrine devait s’imposer de gré ou de force ? Les PS ont raison de se méfier de ces gens là. Ils ne veulent pas d’Obono, pas des antisémites, pas des excités habituels, proches des salafistes et obnubilés par la cause palestinienne… évidemment.

    Mais on va plus loin, on investit Quatennens, condamné pour violences conjugales. On sait que les agissements du député sortant du Nord sont un genre de « culture » chez le principal fonds électoral de LFI, mais quand même, il reste des gens de l’autre culture, la nôtre, assez pour que ça ne passe pas. On s’aperçoit au passage que LFI ne pèse plus si fort qu’avant, puisqu’elle n’a pas pu maintenir son égérie rousse sous la pression. Sur LCI, Clémentine Autain, députée LFIste de la nation française parle d’éradiquer les députés du Rassemblement National. « Si on pouvait tous les éradiquer ce serait formidable ». Eradiquer aussi leurs électeurs, Clémentine ? Elle ne le dit pas, mais son propos sur l’éradication des députés du RN tombe déjà sous le coup de la loi. Mais rassurez vous, elle est de gauche donc elle a le « droit ». L’inverse aurait provoqué un tollé médiatique et une citation au tribunal. On investit un fiché S, mais on refuse aussi d’investir Garrido et Corbière, au prétexte qu’ils ont osé critiquer le chef suprême… décidément, chez ces gauchistes, les méthodes que l’on prête à l’extrême droite sont d’actualité. Rien de surprenant, les chefs historiques de la gauche ont toujours employé ce genre de méthode : Staline, Mao, Polpot, Hitler, Che-Guevarra, avec chacun leur déclinaison. Autain veut éradiquer, Staline envoyait au goulag. Comme première mesure, ils veulent l’abrogation de la loi anti squat, qui permettrait donc à des étrangers de vous piquer votre maison : c’est un argument de campagne qui risque de faire mouche.

    A droite, on cultive la déconnexion d’avec les électeurs, se drapant dans une fausse droiture qui voudrait qu’on ne fricote pas avec le RN. Manque de chance, 54 %, au bas mot et 70 %, en estimation haute, des militants LR, soutiennent l’alliance LR/RN, comme quoi, les caciques des LR sont encore une fois à côté de la plaque, une habitude décidément. Quand même, Sarkozy l’a expliqué, un peu comme au RPF d’ailleurs : « L’union des droites doit se faire par les électeurs, non par les états-majors ». Parole de bon sens, pour une fois.

    Chez Reconquête, c’est la valse avec Marion, mais Zemmour n’est pas dans le tempo. Il n’a pas compris que le bon score aux Européennes, c’est plutôt Marion et que sans elle, il ne fera rien. Les électeurs, là aussi, attendent l’union des droites, pas les états d’âme d’Eric qui ferait bien de ne pas faire cavalier seul, sinon il disparaîtra pour de bon, tout comme les LR.

    Chez le président, l’ex-gouvernement Attal se confond en promesses, de baisses de factures, de meilleure sécurité… pourquoi diable ont-ils attendu la déculottée aux Européennes pour promettre de faire en 2025, ce qu’ils auraient pu faire pendant qu’ils étaient au pouvoir ? Même Véran remet le couvert. Le Covidiste forcené, qui a menti sur les masques, menti sur l’efficacité du vaccin, confiné, mené des conseils sanitaires secrets, signé l’ordonnance du Rivotril, viré inutilement les soignants non vaccinés et qui devrait normalement arborer un profil bas, se sent indispensable à la nation… parce le RN, c’est dangereux.

    Autre indispensable à la nation, Hollande, qui devrait se contenter de ses émoluments d’ancien président, veut redevenir député. Et pourquoi pas agent d’entretien de l’Hémicycle…? l’heure est grave, le RN est aux portes du pouvoir. Il risquerait de ruiner la nation, comme le raconte Attal : elle est déjà ruinée. Il va entraîner le chaos : mais c’est déjà le chaos. Ce n’est plus une campagne électorale, c’est un théâtre d’épouvantails. Il n’y a pas le moindre argument rationnel, ni même de programme concret en dehors de quelques mesurettes sociales. Il n’y a que la peur de l’extrême droite, distillée sur tous les tons, mais surtout la peur de perdre ce pouvoir qui a permis de foncer dans le mur, conduit à la ruine des finances, à la délinquance galopante et à la disparition des services publics dans les campagnes de province. Qui en veut encore et quel intérêt y aurait-il à continuer dans cette voie délétère ? Le RN peut se passer de faire campagne, les braillards de LFI travaillent pour lui. Et Macron de jubiler : « Je leur ai balancé ma grenade dégoupillée dans les jambes », a-t-il rigolé après la dissolution. Nous écrivions au RPF qu’il n’y avait ni piège ni plan, juste une envie de créer du chaos, nous avions raison, le président lui-même l’a confirmé par cette phrase impensable, de la part d’un président. Tous ont peur de la table qui se renverse et c’est bon signe, signe qu’il faut finir de la renverser et que la peur que l’on peut avoir n’est pas que le Rassemblement National arrive au pouvoir, mais celle qu’il ne puisse pas trouver suffisamment d’appuis et de partenaires au niveau européen, pour pouvoir aller assez loin et assez vite dans un changement de paradigme, pour une Europe au service des peuples qui la composent.

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    Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.

  • Cette Gauche d’un seul peuple

    Le front populaire de gauche, n’a de populaire que le nom. « Peuple des villes et des banlieues appropriez-vous le pays », lançait Mélenchon le 9 juin au soir. Tout est dit, la gauche sélectionne le bon peuple, celui qui vote bien contre le méprisable, celui des périphéries, des campagnes, qui vote RN. Elle reste sourde à celui qui a clairement exprimé son ras-le -bol du mépris et de la politique d’exclusion dont elle fait l’objet. Mélenchon et ses alliés lui préfèrent les citadins, creuset de leurs voix. Il y a bien une cassure révélée ce 9 juin et ce front populaire, loin d’incarner le peuple laborieux, s’enfonce dans la séparation, la nourrit par cette simple phrase, véritable profession de foi. Elle n’entend pas la France profonde, celle qui a majoritairement voté RN. Elle la raye, la rend une fois de plus invisible, puisque ne correspondant pas au nouvel idéal progressiste, genre de nouveau stalinisme 2.0, prônant une écologie qu’elle vit par son Smartphone, ne comprenant pas que tout le monde ne se déplace pas en trottinette entre deux bouchées de soja. Mais la formule est choisie avec minutie, pour frapper les esprits les plus impressionnables et les renvoyer vers cet âge d’or, où les ouvriers luttaient pour un bien-être que le patronat leur refusait.

    La gauche a donc décidé de se dresser, avec la population « diversifiée » depuis les villes et banlieues, contre le reste du pays, trop blanc, soupçonné du racisme systémique dont souffriraient la première. Il n’y a qu’à voir la carte électorale pour se rendre compte que cette gauche bourgeoise a dû se réveiller avec un mal de tête épouvantable. Un peuple qu’elle a soigneusement ignoré depuis des années soudainement lui a hurlé STOP. Crime de lèse-majesté qui doit être puni. Comment était ce possible, cette France qu’on ponctionne, qu’on écarte des décisions, celle, dont le seul privilège consiste à recevoir mépris et arrogance des élites autoproclamées, s’est rebellée ? Comment ose-t-elle, cette France oubliée, se dresser contre ce pouvoir divin ? La réaction ne s’est pas fait attendre, elle a eu droit aux insultes : ce sont des idiots, des ignares, des racistes. Plus de doute, les bobos de gauche et de la macronie détestent cette France qu’ils ne connaissent pas, et qui n’est là que pour les servir sans jamais devoir s’exprimer, qu’aurait-elle à dire d’intéressant, puisque par définition elle ignore tout. Et comme toujours, pas le moindre argument, le jugement de valeurs négatif ou l’insulte servant de parole définitive.

    Le gouvernement de Macron était la parfaite représentation de cette élite parisienne, totalement déconnectée du reste du pays, ne le voyant pas, allant jusqu’à considérer que ce qu’il vit n’existe pas, comme cette insécurité, qui ne serait qu’un sentiment et les fins de mois difficiles, sans doute un mirage ? Qui se laissera berner par ce front populaire qui tente de trouver des références dans l’histoire, tout en salissant la mémoire de ceux qui en 36 se soulevèrent pour la classe ouvrière qui souffrait réellement. Ruffin, convaincu d’avoir mis en scène l’une de ses interventions avec Macron, ne veut-il pas, dans l’une de ses premières mesures, réintégrer « l’humoriste » Guillaume Meurice à France Inter. En quoi son licenciement est de la responsabilité du RN ? Qui dirige la radio d’État France Inter ? Que cela soit justifié ou non, l’imputer à un parti qui n’est pas au pouvoir est d’une malhonnêteté flagrante. On est très loin des attentes des salariés, des paysans, des employés, cette classe qui s’est exprimée, qui a crié son envie de ne pas mourir, son ras-le-bol d’être pressurée, sans voir l’ombre d’un retour quelconque sur le terrain. Abandonné, écarté, ce peuple a dit « ça suffit » et le Front populaire s’unit pour s’opposer à lui, voilà la réalité. Sa seule obsession, battre le RN ! Où sont donc passées les colères contre Macron, le désir de l’abattre ?

    Plus rien, la gauche ne s’en préoccupe plus, ce n’est plus sa priorité. Quel crédit accorder à de tels représentants, qui finalement choisissent de ne parler qu’aux villes et aux banlieues, drapeau palestinien en main. Les Français doivent être conscients de cette tromperie, la gauche soi-disant humaniste et sociale ne travaille que pour sa caste et ceux qui veulent la soutenir. Elle se désintéresse de la France laborieuse, et plus encore celle des campagnes et des petites cités. Voilà le vrai visage de ce front qui n’a de populaire que le nom. Nous assistons à une redéfinition du paysage politique et si le RN n’est pas la panacée, ce parti apparaît comme le seul se souciant de ces gens qui ont été écartés de toutes les décisions, que la classe policée « boboïsée », a volontairement rendu invisible tout en le méprisant et le moquant. Un président qui annonce la dissolution de l’assemblée nationale en sous entendant que l’heure est grave parce que 31% des Français ont mal voté et mettent en péril l’ordre établi, est une insulte de plus qui ne peut se laver que dans les urnes. Voter pour cette engeance c’est reconnaître le déclassement de la France profonde au profit de Paris, des grandes villes, c’est accentuer le déséquilibre, c’est prétendre que deux peuples sont irréconciliables puisque l’un doit s’approprier le pays au détriment de l’autre. La Gauche n’est pas là pour rassembler mais pour étouffer, contrôler, châtier ces Français qui ne vivent pas selon ses normes, ni dans les aires géographiques qu’elle fréquente. Les électeurs vont-ils souscrire à ce choix et dans un surprenant esprit de sacrifice, accorder leur entière confiance en votant pour une classe ouvertement hostile ? Ce serait peu respectueux que de l’affirmer, mais les sirènes sont capables de détourner les âmes les plus fortes. Donner sa voix à une fraction du peuple qui n’hésite pas à incendier des poubelles et à insulter les électeurs du RN, n’est pas le signe d’une volonté d’unité et de respect des institutions ni de la liberté de penser. Mais sont-ce vraiment des vertus que porte la gauche ? Au vu de la haine qu’elle a viscéralement contre ces mauvais citoyens, le doute n’est pas permis.

    Allumer un feu et chanter que l’on veut y voir cramer Bardella correspond étrangement à ce qu’ils sont censés combattre. Ce clivage ne peut déboucher que sur des affrontements plus sérieux. Macron, ne comprenant que trop bien la sociologie de la France, utilise et exacerbe ce phénomène à son avantage, le pousse à son paroxysme, jusqu’à ce point de non-retour où toute reculade ou abandon est devenu impossible, quelles qu’en soit les conséquences. Ceux qui le voit comme maître des horloges se trompent, les événements le dépassent : il joue avec le feu mais ne contrôle plus rien. Le narcissisme dont il fait preuve l’aveugle à tel point qu’il est incapable de saisir ce qu’il a réveillé par sa folie. Il n’y a pas de retour possible et tous les discours en trompe-l’œil ne prennent plus. Les Français doivent terminer le travail commencé le 9 juin, battre la macronie et ce qu’elle représente de la manière la plus éclatante et balayer ce front de gauche qui ne symbolise qu’une frange marginale de la population. Ce ne sont pas aux villes ni aux banlieues de s’approprier le pays, c’est bien à tous les Français de le faire, cela s’appelle la démocratie.

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    Par Gilles La-Carbona : secrétaire national du RPF au suivi de la vie parlementaire

  • Macron : pas de piège ni de stratégie…

    On entend, depuis les dernières élections européennes, des analystes parler de « plan » et de « piège » de Macron : il n’y en a pas. L’homme ne se relèvera pas d’un désaveu aussi violent de sa politique. A peine 15 % de 50 % de votants, ça fait 7 % d’opinions positives de sa politique et encore, ces 7 % comprennent Renaissance, le Modem, Horizon… c’est à dire que le parti Renaissance de Macron ne pèse plus rien. Pire, Macron cristallise les opinions négatives, le rejet, voire la violence à son égard et chaque fois qu’il ouvre la bouche, il perd des points et en fait perdre à ses partenaires et ses candidats. Il n’y a ni piège ni plan pour pouvoir revenir en grâce parce que ce n’est plus possible. En cela il est parfaitement dans les clous de ce qui pourrait être le profil psychopathologique que lui décrit un psychiatre italien dont l’analyse fait florès sur les réseaux sociaux : fascination, doute, détestation. Il a fasciné, avec l’aide certes, d’une presse subventionnée acquise à sa cause, puis le doute s’est installé et il n’a dû sa seconde élection qu’au barrage contre l’extrême droite (et peut être à l’informatique) et on en est à la troisième phase : la détestation, cheminement habituel des dictateurs, ou apprentis dictateurs qui s’imaginent être toujours dans le vrai, avoir toujours raison et n’en font qu’à leur tête.

    Et comme tous ceux dans son cas, sentant que les choses lui échappent, il choisit toujours la même solution, celle du chaos, selon sa formule habituelle : quel qu’en soit le prix et qui sied parfaitement au profil psychologique qu’on lui prête. Vous ne m’aimez plus, donc je vous déteste. Il sacrifie la paix sociale, en laissant les gauchistes violents s’en donner à cœur joie. Sacrifie ses alliés LR, avec un baiser de la mort, dont ne se relèveront pas ceux qui n’ont pas compris qu’il fallait prendre ses distances d’avec lui. Sacrifie les Jeux Olympiques, qui seront difficiles à assurer pour le nouveau gouvernement qui sortira des législatives. La « Grande presse » ne le dit pas, mais les perspectives sont sombres pour cet événement et il faut lire la presse étrangère pour le savoir. Les capitales étrangères suivent de très près ce qui se passe en France et n’ont pas une bonne opinion de la manière dont Macron gère la France. Les réservations ne décollent pas, les menaces d’attentats sont bien réelles, les Américains en font état et les délais de préparations des installations sont extrêmement tendus. Un plan B a même commencé à voir le jour pour la cérémonie d’ouverture.

    Il sacrifie ses propres troupes, les licencie sans préavis, sans consultation, un dimanche soir entre l’isoloir et le dépouillement, alors que les résultats définitifs ne sont pas encore bouclés. Ni Braun-Pivet, ni Larcher n’ont été consultés, ce qui peut apparaître comme une faute constitutionnelle, une de plus. Pas mal de députés Renaissance qui ont tout abandonné pour le suivre, vont se retrouver sur le carreau, avec des chances de réélection très minces, le prix à payer pour avoir voté des lois scélérates jusqu’au milieu de la nuit. On ne va pas les plaindre. Sacrifie l’image de la France à l’international, offrant aux yeux du monde, le spectacle de finances à la dérive, d’une méthode autocratique dont on voit le bout et d’une délinquance devenue galopante, à base de coups de couteaux, de refus d’obtempérer, de viols, meurtres quotidiens, assortis d’une ambiance délétère dans les transports en commun et de nombreux quartiers, où les forces de l’ordre sont à la peine et où tout bascule avec des tirs inopinés par des agents à bout, toujours sur le qui vive et sur lesquels les voyous foncent désormais sans ménagement. Sans compter les empoignades régulières avec les casseurs d’extrême gauche, qui ont désormais les coudées franches pour installer eux aussi leur chaos, au prétexte d’une peur savamment programmée de « l’extrême droite ». Macron est devenu gênant pour tout le monde, y compris sans doute pour ses commanditaires, qui peuvent lui reprocher de n’avoir pas su faire entrer la France dans les processus de mondialisation et du fédéralisme européen, assez adroitement, c’est à dire, sans générer le chaos actuel.

    Mais s’il n’avait pas dissout, il aurait aussi été critiqué, vont dire les autres. La sagesse aurait commandé de surseoir à toute réforme de fond, de laisser passer les JO et de se concentrer sur la tenue de cet événement qui va faire de la France le lieu de tous les regards cet été. Puis de dissoudre à la rentrée, après consultation. Mais le peuple a mal voté, le peuple ne m’aime plus, je vais le punir, comme je vais punir ce pays, qui doit disparaître dans l’utopie du mondialisme heureux, apanage seulement de quelques idéologues milliardaires.

    Ça ne marchera pas. Les fonctionnaires, à la fois force et faiblesse de la France, vont tenir les boulons, les administrations vont faire le job, peut être même que forces de l’ordre et armée se passeront d’ordre à un moment, si la nécessité impérieuse pour le pays s’en fait sentir. En réalité, ce pays peut se passer momentanément de gouvernement et surtout, de président. Il faudra garder un œil sur les banlieues, que l’extrême gauche est en train d’essayer de pousser à la guerre civile et un autre sur les casseurs de la même gauche, qui sont prêts à tout pour imposer un stalinisme dont ils ont décidé que c’était la solution idéale, quand bien même elle n’a jamais marché nulle part. Le peuple a voté RN, si tant est que ce parti soit celui du peuple et du changement de paradigme, mais en tout état de cause, le peuple doit être écouté et on verra si fin juin, le peuple réitère sa volonté de virer une clique qui se donne la France en héritage depuis quarante ans ans pour l’amener de la 11ième place en 1990, à la 24ième place mondiale, en termes de PIB par habitant, c’est à dire, bien moins de part du gâteau par habitant. Soit aussi, une dégringolade continue, au nom de la « bonne pensée », assortie de discours lénifiants qui ne consistent jamais qu’en une négation permanente des réalités.

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    Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.

  • Le procès d’intention en guise de campagne

    Les ennemis de la France et de son peuple s’affichent sans complexe depuis le scrutin du 9 juin. Le voile de la félonie apparaît au grand jour et les usurpateurs d’une démocratie qu’ils ne cessent de piétiner depuis 40 ans sont nommés. Habitués à ne voir dans la souveraineté populaire qu’un alibi qu’ils contournent quand le résultat ne correspond pas aux attentes de leurs commanditaires, comme le crime commis par Sarkozy et les parlementaires, traînant dans la boue le référendum de 2005, ils viennent à la tribune dénoncer le choix de certains de suivre les désirs d’un peuple qui serait impur à leurs yeux. Qui sont-ils pour décider à la place du souverain, pour mentir à l’envi sur les buts politiques d’un adversaire qui n’a jamais gouverné ? Le procès d’intention remplace l’argument, l’anathème supplante la démonstration étayée. Les suppositions vont bon train et la tentation de la terreur retrouve ses couleurs. Attal affirmant qu’avec le RN ce serait la ruine, mais elle est déjà là cette ruine, et par sa faute. Attal rappelle la stratégie de Mitterrand en moins fin. N’avait-il pas écrit le « coup d’État permanent » pour y révéler les pseudos desseins cachés du général De Gaulle, ce dictateur qui sommeillait sous les ors de la République.

    Piètre illusion qui vit l’accusé quitter le pouvoir pour un referendum perdu d’une poignée de voix. Drôle de tyran tout de même, tandis que le pamphlétaire, décoré de l’ordre de la Francisque en 1943 par Vichy, se déclarait défenseur de la liberté et de la démocratie. Nous assistons au spectacle à la fois désolant et terrifiant que Macron met en scène, à savoir la fin accélérée de la Nation France. Isolé depuis la dissolution, acte non pas Gaulliste comme d’aucuns tentent de nous le vendre, mais représentant parfaitement l’égoïsme d’un homme dont seule sa parole compte et qui ne supporte ni défaite ni opposition. Le président de la République laisse les émeutes se propager sans rien faire. Son but, entretenir le chaos à un niveau suffisamment acceptable pour que le premier tour ait lieu. Son espoir est de voir le RN s’effondrer d’ici là, ou la coalition de gauche gagner. Si tel n’est pas le cas, il laissera le pays s’embraser jusqu’à l’hallali final. À gauche, c’est l’union mais le PS pose ses conditions : soutien indéfectible à la construction européenne, entendez la disparition des nations au profit d’un fédéralisme décomplexé. Soutien indéfectible à la résistance ukrainienne… la Guerre, la guerre, de Brissot, la ruine et le déficit toujours plus grand, pour rien.

    À droite, c’est le déchirement des LR confrontés à la réalité et les électeurs comprennent à présent, pour ceux qui n’y croyaient pas, que les caciques de ce parti roulent pour eux et Macron, la France, son peuple, ils s’en moquent. Pas d’alliance avec le RN, pour ne pas saborder les plans de Macron. Que peuvent-ils espérer avec 6%, dans un scrutin à deux tours où des triangulaires sont à envisager, sauf à s’effacer devant le candidat de gauche ou macroniste, signant pour leurs électeurs une énième trahison. Larcher devait soi-disant entendre le peuple si le RN arrivait en tête, qu’en fait-il de ce message lancé depuis les urnes ? Rien, il tremble pour sa place, ses augmentations, ses privilèges sa cantine. Dans un discours fielleux, à la sincérité frelatée, il va nous expliquer que ses valeurs sont incompatibles avec celles du RN. En revanche elles ne le sont pas avec celles de la macronie qu’il préfère voir gagner encore une fois et qui ruinent notre pays. Le sénateur laisse alors le peuple se faire assassiner, moyennant une discours hypocrite de fausse sollicitude. C’est cela qu’il estime plus en phase avec sa sensibilité ? Les électeurs apprécieront, l’heure des comptes a donc sonné. Les ennemis du peuple se désignent tout seuls, nul besoin de les débusquer, il pourrait être temps de les juger. Mais nous sommes en démocratie et c’est des urnes que la sentence doit tomber.

    Il y en a assez de ces moralisateurs qui viennent nous expliquer ce qui est bien ou mal, qui refusent d’entendre le peuple, et avec un mépris sans commune mesure l’écartent des décisions, lui interdisent le droit de désirer que d’autres politiques soient essayées. La volonté de l’isolement est un tour de passe-passe grossier pour laisser le champ libre à Macron, ou à cette gauche qui s’illustre une fois de plus par son intolérance et sa violence, se vantant d’être de grands démocrates en insultant, ou terrorisant ses opposants.

    Le RN, incapable de s’allier avec Zemmour bloqué sur une rancœur immature, se fait déposséder par Marion Maréchal, consciente que l’histoire peut s’écrire une nouvelle fois grâce à l’abnégation et la raison. Elle fait ce qu’elle juge bon pour la France en s’effaçant pour donner la priorité au collectif : tout l’inverse de Zemmour qui ne devrait pas survivre à cet épisode. L’événement appelle à de la hauteur, il n’y a pas la place pour que des querelles d’école viennent ternir une victoire qui s’annonce difficile à parfaire. La grandeur en politique se mesure aussi à sa capacité à pardonner pour les uns et à rester humble pour les autres. Les blessures infligées aux amours propres semblent plus importantes pour certains que l’enjeu national qui s’avance. La France est en passe d’être détruite par la future commission européenne que dirigera peut-être Mario Draghi. Nous avons besoin d’unité contre vents et marées. Ce que Marion Maréchal vient de faire d’autres devraient s’y rallier : Dupont-Aignan et Philippot en tête. Face aux égos qui se dressent comme des obstacles, il faut que des volontés supérieures les dépassent, c’est exactement ce que vient de faire Marion Maréchal, tout comme Ciotti, se souvenant sans doute que la base est à plus de 70% favorable à un rapprochement avec le RN. Macron reste toxique pour son parti, c’est là son affaire, mais pour la France c’est dramatique. On ne peut pas le voir gagner encore une fois. Ses complices sont découverts, désignés, le combat est donc plus équitable.

    Le président s’implique une fois de plus avec acharnement, s’il perd, il devrait en toute logique démissionner. Le fera-t-il ? La nouvelle assemblée devra le mettre hors d’état de nuire si elle ne veut pas souffrir de ces conspirations futures. Pour cela des réformes institutionnelles par référendum sont nécessaires, notamment celle du RIC et de la transformation du Conseil Constitutionnel. Il est impératif de le séparer de ses alliés placés dans les rouages les plus importants de la république. Les changement du président du Conseil d’État et de la Cour des Comptes sont primordiaux. Nous l’avions déjà écrit dans nos colonnes, pour qu’il perde pied, il faut le surprendre. S’il ne maîtrise rien, il est fragilisé. La France ne peut se permettre de laisser passer cette occasion de chasser du pouvoir cette clique de menteurs. Nous saurons bien juger sur pied, à l’aune de leurs actions, de la valeur et de la sincérité des nouveaux dirigeants.

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    Par Gilles La-Carbona : secrétaire national du RPF au suivi de la vie parlementaire

  • Le « plan » européen d’invasion…

    La sentence est tombée à l’égard de la Hongrie : une lourde amende pour non-respect du droit d’asile. La Cour de justice de l’Union européenne a condamné la Hongrie à payer une somme forfaitaire de 200 millions d’euros et une astreinte d’un million d’euros par jour, pour ne pas s’être mise en conformité avec le droit de l’UE en matière d’asile. Budapest n’a pas exécuté un arrêt, datant de décembre 2020 et l’obligeant à garder un migrant sur son sol dans l’attente d’une décision définitive sur son éventuelle régularisation. Ce « manquement » de la Hongrie « a pour effet de transférer aux autres États membres la responsabilité » d’assurer « l’accueil des demandeurs de protection internationale, le traitement de leurs demandes et le retour des ressortissants de pays tiers en séjour irrégulier » et « porte une atteinte grave au principe de solidarité et de partage équitable de responsabilités entre les États membres ».

    Cela signifie aussi que la politique d’accueil est une obligation donc bien un plan de l’Union Européenne qui en veut absolument pour accueillir à marche forcée, essentiellement des hommes, essentiellement des arabo-africains et essentiellement de confession musulmane. On n’en voit pas trop l’intérêt. Main d’oeuvre souvent peu formée, elle reste majoritairement au chômage et se retrouve largement sur-représentée dans la délinquance des grandes villes, notamment les mineurs non-accompagnés.

    On peut y voir aussi un genre d’avertissement à la France d’un éventuel gouvernement de ce qu’ici on appelle « l’extrême droite » et qui sert d’exemple pour un gouvernement Bardella qui ferait sienne l’idée de ralentir ce flot incontrôlé d’immigration arabo-africaine, comme il en a l’intention. Mais dans l’Europe, la France n’est pas la Hongrie. La France est le second contributeur de l’Europe et surtout, elle donne plus qu’elle ne reçoit, c’est à dire qu’elle pourrait, si un tel jugement la frappait, expliquer qu’il faut changer ce qui n’est finalement qu’un plan d’invasion de leurs propres pays que l’on fait payer aux contribuables, comme l’explique De-Villiers. Et pour joindre le geste à la revendication suspendre sa contribution à l’Europe, si elle est obligée de garder des migrants indésirables.

    Cette question, nous l’avons dit au RPF, doit faire l’objet d’un référendum, à savoir si les Français veulent encore ou ne veulent plus de cette immigration arabo-africaine. Ils n’en veulent plus, c’est justement pour cela qu’il n’y a pas de référendum, puisqu’on en connaît la réponse. Mais le peuple pense mal, c’est bien connu et on doit lui imposer ce dont il ne veut pas puisque c’est ainsi. Le problème est qu’on ne voit pas pourquoi les contribuables français seraient obligés d’accepter ce dont ils ne veulent pas selon un processus qui n’a plus rien de démocratique. Au RPF, nous préconisons même de pratiquer ce qui se pratique dans la très grande majorité des pays du monde : l’étranger arrive à ses frais. Par sa position de second contributeur de l’Europe, la France, pas comme la Hongrie, a les moyens de peser sur cette politique et un gouvernement RN pourrait entamer le bras de fer avec ce qu’il faut bien appeler la « dictature bruxelloise ». Reste à savoir si un Bardella aurait le cran de s’y essayer ou s’il se couchera, comme s’est couchée Meloni ? Pour un éventuel RN au pouvoir, cette question pourrait bien faire office de test de son beau discours sur la souveraineté.

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    Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.

  • L’urgence d’une union des droites

    La gauche fait front tandis qu’à droite les rapprochements sont timides, hésitants, tant les préjugés ont la vie dure. Les réticences ne fléchissent pas aisément, entretenues par des barrières éthiques infranchissables, dressées par la gauche pour piéger la droite. C’est elle qui installe le cadre moral dans lequel ses opposants sont autorisés à naviguer pour être jugés fréquentables par eux. Les LR notamment ont peur d’être fustigés par la bien pensante idéologie « woke progressiste ». C’est donc sous cette pression que la droite refuse toute alliance sur un programme commun, obligée d’obéir à ses ennemis pour s’acheter une honorabilité. Ciotti vient de s’affranchir de cette injonction et ose. Voilà que les caciques, à la solde de Macron s’empressent de le virer, malgré l’avis de la base des militants LR, qui ne voit pas plus de problème que cela à une union des droites. En cela les cadres de ce partis sont déconnectés de leur base. Mais que peut bien représenter une Pécresse qui a été humiliée à la dernière présidentielle, pour immédiatement après se rallier à Macron, jusqu’à le suivre à Davos avec Xavier Bertrand ? Les masques tombent, conclusion logique aux refus de voter une motion de censure. Le jour où il faut croiser le fer avec les électeurs l’heure de vérité sonne et les trahisons successives font courir aux LR un risque d’anéantissement complet.

    Ce soutien inconditionnel à Macron n’était valable qu’avec un RN bas. Aujourd’hui, persister à crier être dans l’opposition sans en montrer le moindre signe serait suicidaire. Que les satrapes du parti rejoignent Macron, les électeurs s’y retrouveront. Ciotti a pour une fois raison de tenir bon et de refuser que des moralisateurs viennent lui dicter sa conduite. Que les censeurs, les uniques dépositaires de valeurs démocratiques, tous étiquetés à gauche bien entendu, se regardent, ils auraient donc eux le droit de s’allier avec tout ce qui est extrémiste de gauche, violents et irrespectueux du résultat des urnes, mais les LR ne le pourraient pas ? C’est tellement vrai qu’ils ont lâché leurs enragés dans les rues pour démolir des devantures de magasins dont les propriétaires sont soupçonnés de voter RN. Ils détruisent tout, insultes les électeurs, déchirent le drapeau Français, ce qui est un délit, mais c’est le RN qui est une menace pour la démocratie. Aucun journaliste pour souligner le paradoxe. C’est là leur grande force, refuser le verdict des urnes qui ne leur convient pas en taxant d’extrémistes et de fascistes ceux qui n’ont jamais fait semblables sorties le lendemain d’une consultation. Macron jubile, laisse le chaos s’installer pour montrer combien est délétère le RN, plus prompte à envoyer des CRS sur des Gilets Jaunes que d’empêcher des manifestations contre le résultat d’un scrutin démocratique.

    Il joue les apprentis sorciers, s’isole un peu plus et se perd définitivement. C’est de cette étiquette dont on peur les autres partis de droite, beaucoup plus scrupuleux que les gauchistes, qui n’hésitent pas à s’allier pour conserver un peu de pouvoir, quitte à se déchirer après. Persister dans cette voie serait suicidaire. Il y a un calcul politique bien entendu. Il se fait à gauche pourquoi serait-il interdit à droite ? Mais il faut aussi prendre en considération l’issue probable de ces législatives. Il n’y a que deux possibilités : soit le RN arrive à obtenir la majorité absolue, soit il est simplement majoritaire. Dans le premier cas il se suffit à lui-même, dans le second les institutions sont bloquées et la France entre dans une instabilité qui conduira à la chute de la Vème République. Une élection présidentielle anticipée ne changera rien, car les équilibres pourraient être tout aussi instables et une gouvernance sur fond de IVème république n’est pas envisageable. Ciotti vient d’ouvrir la voie, qu’attendent les souverainistes pour s’allier également dans le but d’influencer la nouvelle majorité ? Ne vaut-il pas mieux gouverner avec eux en diffusant ses idées en interne, plutôt que de gesticuler à l’extérieur tout en stagnant à 1% ? Ce n’est pas se parjurer que d’arrondir les angles, mais c’est assurément se condamner à l’invisibilité en refusant catégoriquement toute alliance. La France ne se sortira pas de l’ornière dans laquelle Macron l’a mise par la force d’un seul parti. On le voit bien, il y a en face une volonté de déstabilisation qui est flagrante. La gauche se moque de la nation, ce qu’elle souhaite c’est imposer ses vues comme universellement reconnues. Souvenez-vous des propos de Jules Ferry, et le droit qu’il accordait aux races dites supérieures à civiliser les inférieures sans leur consentement.

    C’est bien cette idéologie que véhicule la gauche outrancière, soi-disant humaniste, tant que l’on épouse sa philosophie et son mode de pensée. L’amour de la patrie est honni chez eux, celui de la propriété privée inviolable et sacrée aussi, généreuse avec l’argent des autres, elle ne jure que par l’égalité absolue et le partage des richesses qu’elle n’a pas. La droite devrait se refuser le droit d’affirmer son identité sous la menace de l’excommunication de cette engeance ? Comme si son avis avait valeur de bénédiction et qu’il y avait un risque de profanation à se démarquer et à souhaiter travailler au redressement du pays sur d’autres bases que celles qui ont montré leurs limites et leur inefficacité depuis des dizaines d’années ? La gauche se veut universelle dans une exclusivité qui supprime de fait toute opposition qu’elle juge elle-même indigne. La droite en refusant la coalition lui donne raison et entretient cette idée que certains électeurs sont plus vertueux que d’autres et qu’il y en a même qui devraient être exclus, voire rééduqués tant leur trajectoire est déviante. C’est l’idée même du goulag soviétique et celle du camp de rééducation chinois. Ce fanatisme-là est bien plus pernicieux, car il ne reconnaît pas la nécessité du bien national, mais tente d’œuvrer pour une internationalisation qui devient incompatible et dangereuse dans un monde multipolaire qui émerge.

    La droite devrait considérer qu’il n’y a qu’une chose sacrée, le peuple, non les positions de ceux qui éternellement, se classent eux-mêmes dans le camp des gentils, s’ingénient à détruire les fondements de notre société en récusant ses valeurs et ses mœurs millénaires au profit d’un progressisme destructeur, attaché à la domination étrangère anglo-saxonne. Il y a un préalable à tout, et celui de devoir consolider une victoire qui se veut, quoiqu’on en dise, celle des patriotes, des amoureux de la France, contre ceux qui prônent une internationalisation synonyme de disparition de notre nation. C’est sur cette base là que l’union des droites doit se réaliser. Chacun devrait réfléchir à deux fois avant de camper sur ses positions qui ne peuvent déboucher que sur une crise majeure, dont l’issue ne pourra qu’être mouvementée ou au pire, fratricide. Deux blocs politiques s’affrontent aujourd’hui, sans alliance il est à craindre que demain ce soit deux populations qui se combattent.

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    Par Gilles La-Carbona : secrétaire national du RPF au suivi de la vie parlementaire

  • Hou-hou, ayez peur…

    On sent venir le programme des gens de gauche : lutter contre l’arrivée du RN au pouvoir en tentant de faire peur avec le vocable « extrême droite », usé jusqu’à la corde. Si ces gens avaient deux sous de jugeote, ils s’apercevraient que le simple fait que le RN arrive à plus de 30 % à une élection est justement le signe évident qu’il ne fait plus peur. On se demande bien d’ailleurs comment il pourrait faire peur. Rien d’outrancier dans les discours et les postures. Ils ne veulent plus de migrants africains ? Qui en veut encore ? Ils veulent réindustrialiser la France ? Qui ne veut pas ? Ils veulent rompre avec les accords d’échange de population passés avec l’Algérie ? Qui est contre ? Ce n’est pas de l’extrémisme, c’est juste du bon sens. Les directeurs de conscience sont de gauche tant qu’ils ne se retrouvent pas avec une famille de squatters syriens dans leur appartement parisien, à leur retour de vacances à l’île de Ré.

    Le scrutin fait d’ailleurs apparaître un vrai clivage dans le vote entre les riches parisiens et les provinciaux. Le Paris de Macron et d’Hidalgo est devenu un microcosme totalement déconnecté de la province, des gens qui triment et qui vont au boulot le matin en diesel de plus de dix ans, pour des salaires deux fois inférieurs à ceux des Parisiens de l’intérieur du périphérique. Non seulement le RN ne fait manifestement pas peur, mais ce sont plutôt ceux de LFI qui font peur. Leur acoquinement permanent avec les mouvances islamiques, leur propension à vouloir installer l’islam partout en France, leur antisémitisme souvent ouvertement exprimé, leurs coups d’éclats à l’assemblée, avec leurs drapeaux Palestiniens, les Panot, Boyard, Caron, Garrido… qui n’en finissent plus de débiter des âneries ou des provocations, font autrement peur que les députés RN, plutôt sages à l’assemblée. Leurs très bons scores réalisés dans les zones à forte densité de population musulmane montrent à l’évidence qu’ils ont choisi leur électorat et ce choix est bien de nature à les enfermer dans le créneau qu’ils ont cherché à conquérir. Et pour couronner le tout, les voilà qui refusent le verdict des urnes et se rassemblent pour tout casser dans les centres villes et arracher les drapeaux français… comme d’habitude pourrait-on dire. Y a-t-il là, de quoi rassurer les Français ?

    A part ça, la gauche socialiste propose quoi ? Des mesurettes sociales, comme l’inscription de l’IVG qui n’était pas menacée dans la Constitution, quel intérêt ? De l’écologie privative : plus de voiture, plus d’eau, plus de viande, plus de chauffage… y a t-il vraiment de quoi attirer le chaland ? La première préoccupation des Français est la fin de mois et la seconde, les coups de couteaux qui pleuvent sur ce pays de la part d’affidés importés, ou de leurs enfants nés en France. La Palestine, le carbone, la viande de synthèse, préoccupent moins que le prix des carburants, les produits alimentaires frelatés, les agressions quotidiennes ou l’engagement de la France dans une guerre lointaine qui ne nous concerne pas. Même les Etats-Unis ne veulent plus y aller, pourquoi irions nous ? Mélenchon, l’ancien socialiste, qui se veut le trait d’union entre les gauches parle d’un « nouveau peuple », qui s’est constitué « sur trois générations », on se demande bien de qui il parle, à part des Maghrébins ? Le même nous certifiant que le « Grand Remplacement » n’est qu’un fantasme de l’extrême droite. Faudrait savoir. Oui, la gauche fait peur, par sa vacuité, pour son idéologie violente et sa rengaine éternelle, la peur d’un RN qui n’a encore rien fait et dont personne n’est sûr qu’il fasse pire que Macron.

    Macron justement, que Ruffin a qualifié de « taré ». On se dit que finalement, après sept années de mandat, le qualificatif, bien que brut de décoffrage, soit parfaitement adapté et même la gauche, qui a soutenu deux fois Macron, pour faire barrage à « l’extrême droite », va-t-elle encore le soutenir, alors qu’elle n’en veut plus, encore pour faire barrage : cela tient du Pavlovisme. L’objectif « lutter contre le RN passe avant celui de proposer un programme susceptible de plaire aux Français et pour empêcher le RN d’avoir la majorité à la future assemblée, les gauchistes préfèrent agiter un spectre plutôt que de se mettre au travail sur un vrai programme. En même temps, nous avons trois mandats de présidents de gauche et 10 ans d’un président ancien camarade de Hollande, Macron, qui se disait une fois socialiste, une autre fois pas socialiste et on ne peut pas dire que la France en soit sortie prospère. Les présidences socialistes ont-elle même contribué à réduire les écarts entre les plus riches et les plus pauvres ? Même pas, ils n’ont fait qu’augmenter… agiter la peur irrationnelle du RN est peut-être, après tout, le seul truc qu’ils savent faire, à gauche. Quant au RN, on les jugera sur pièces.

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    Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.

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