L’OMS a revu sa copie…

Le futur traité tant décrié, qui prévoyait une prise de pouvoir internationale de l’Organisation mondiale de la santé en cas de pandémie, qu’elle aurait elle-même décrétée, a été largement amendé. Le groupe de travail a supprimé quasiment tous les articles qui avaient soulevé un tollé un peu partout dans le monde. Sous la pression de certains gouvernements et des oppositions, les mondialistes ont reculé, jusqu’à quand ? Ne boudons pas notre plaisir. Un bref récapitulatif des points qui ont fait l’objet d’une modification substantielle atteste du chemin parcouru. Finalement les recommandations que l’OMS pourra émettre n’auront pas le caractère d’obligation, ni de contrainte. Les dispositions qui devaient permettre à l’organisme d’intervenir sur simple urgence « potentielle » ont été abandonnées. La censure mondiale et le contrôle de l’information initialement prévus par l’OMS, sont également retirés. Tout ce qui autorisait au RSI d’y associer les risques sur la santé dus au changement climatique sur l’approvisionnement alimentaire, est oublié. L’OMS reconnaît explicitement que les États sont les seuls responsables de la mise en œuvre des réglementations. Les mécanismes de surveillance qui auraient encouragé et favorisé les passeports de santé numériques, les possibilités de transfert de technologie forcée et le détournement des ressources nationales ont quant à elles été sérieusement diminuées, sans pour autant disparaître totalement.

Une dernière pression devrait permettre de faire sauter ces dispositions. Il est clair que le texte n’a plus rien de celui d’origine même s’il garde des traces liberticides, qui semblent posées là comme les témoins d’un futur dans lequel l’organisation tentera à nouveau son coup de force. La vigilance est donc de rigueur. L’abandon du projet eut été un gage bien plus certain de sécurité, car si on peut se féliciter de ce recul conséquent, le fait même de maintenir ce traité est la preuve que les mondialistes ne renoncent pas. Il ressemble à ce pied que l’on met dans la porte pour permettre d’entrer plus tard. Nous ne pouvons clairement pas accorder la moindre confiance à une institution financée et dirigée de fait par Bill Gates. L’homme ne s’est jamais caché pour dire qu’il faut réduire drastiquement la population mondiale et même que cela pourrait être fait grâce à des injections de produits. Laisser un organisme chargé de la santé aux mains d’un individu dont le dessein est de voir disparaître un bon tiers des humains est-il rassurant  et conciliable avec l’essence même de l’organisme ? Surtout quand dans le même temps, le personnage nous exhorte, voire tente de nous contraindre, à nous inoculer un vaccin pour nous sauver. Il y a là un paradoxe que les esprits, même faibles, ne manqueront pas de soulever. L’incompatibilité entre les deux buts recherchés doit nous inciter à une méfiance des plus soutenues. On ne peut pas convoiter des résultats aussi différents l’un de l’autre sans devenir suspect.

Certes la reculade est importante, mais le traité est là, toujours, ce ne peut être un simple hasard. S’il est vidé de toute sa substance nocive à quoi bon le maintenir ? S’il demeure d’actualité, il faut alors chercher ce qu’il cache, ou ce qu’il prépare. Nous n’aurons la paix qu’une fois le principal instigateur de cette démarche, écarté de l’organisation. Tant que des hommes de Davos, ou très proches philosophiquement, suivant des thèses du gourou Schwab, resteront aux commandes des organismes mondiaux qui entendent bien prendre le pouvoir pour imposer leur folie, il n’y aura pas lieu d’être rassuré. La lutte continue. La forte mobilisation contre ce funeste projet prouve que nos combats légaux et informationnels ne sont pas vains. Ils sont essentiels et certainement pas terminés. Le clan mondialiste a dû reculer c’est très satisfaisant, mais il n’a pas été chassé du cercle de commandement. Sa puissance de nuisance est toujours aussi élevée, sa fourberie et sa démence, loin d’être anéanties. Les coups qu’il reçoit sont importants et le font chanceler, mais restons sur nos gardes, cette organisation nébuleuse fera tout pour garder son emprise et l’influence qui est la sienne. Le changement géopolitique qui s’opère et la fragilise semble irréversible, c’est bien ce mouvement qui la rend dangereuse, car elle perçoit déjà les prémices d’une défaite qu’elle ne supporte pas et qu’elle essaiera par tous les moyens d’empêcher. L’Ukraine est un des maillons, et l’acharnement du camp auto-proclamé du « bien » à maintenir un conflit coûteux désigne bien son affolement. Réduit à déclencher une guerre et à prolonger des peurs, l’écroulement du front sera une nouvelle secousse qui pourrait bien faire chanceler ce géant de pacotille qui n’attire plus l’ensemble des peuples et dirigeants du monde, mais qui suscite la méfiance quand ce n’est pas carrément le rejet.

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Par Gilles La-Carbona : secrétaire national du RPF au suivi de la vie parlementaire

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